Voilà Comment J’Ai Sauter Ma Collègue De Bureau.

Tous les jours quand j'arrive au magasin ,je dis bonjour à Valérie.
Elle est toujours habillée pareil, un tailleur, un chemisier bien ouvert sur un beau 95c, une jupe et des collants ou (je l'espère ) des bas noirs.
Un jour où son décollée était vraiment très avantageux, je le lui fit remarquer en lui disant que ce que je voyais était beau et que j'aimerais en voir plus.
Je fus vraiment très surpris quand elle prit ma main et m'entraîna dans les toilettes.
Là, elle me dit qu'elle aimerait bien en voir plus elle aussi.
C'est alors qu'elle commença à déboutonner un à un les boutons de son chemisier et le retira ainsi que sa jupe .
Ce que je voyais était magnifique, un ensemble de lingerie fine à faire bander un mort, agrémenté d'un splendide porte jarretelle et d'une paire de bas.
Je lui retirais son soutif et découvris une poitrine ferme, haute perchée.
Elle se pencha et ouvrit ma braguette pour en sortir mon vit et le masturber. Mon dieu que sa main était douce.
Elle ouvrit sa bouche et avala entièrement mon membre .
Cinq minutes après, je lui fis signe que j'allais venir, c'est alors qu'elle me pompa le nœud avec vigueur tout en me maintenant les fesses. Ce qui devait arriver arriva, je lui crachais tout mon foutre dans la bouche.
J étais tellement excité que je n'ai même pas débandé.
Je la fis se relever, elle s'appuya contre le lavabo en position de levrette.
Je descendis son string, vérifiais qu'elle était prête à me recevoir en lui enfournant deux doigts dans la moule qui rentrèrent comme dans du beurre.
Après quelques allers retours, je positionnais mon gland à l'entrée de sa chatte imberbe et poussais d une seule traite mon vit dans ses entrailles .
Mon dieu que c'était bon, je limai ma collègue à grands coups de boutoir , après quelques minutes de ce traitement, je sortis de son con, appliquais mon gland sur sont petit trou et en moins de deux je lui explosais sa boite à caca.

Elle se retint de gémir et au bout de deux ou trois va et viens elle commençait à ronronner.
Pandent que je l'enculais, je lui titillais le clito de ma main droite, elle aimait ça la salope, je fus très surpris lorsqu'elle éjacula dans ma main. Elle me dit après coup qu'elle faisait partie des femmes qui lorsqu'elles sont bien astiquées éjaculent un jet de cyprine.
Sentant ma sève monter, je lui bourrais le cul encore deux ou trois fois et sortis ma bite de son fondement, elle s'agenouilla devant moi et me suça la queue et avala tout jusqu'à la dernière goutte.
Je gardais ses dessous en souvenir (elle dû travailler sans soutif et sans string toutes la journée.)
Aujourd hui tous les deux ouvrons le magasin avec un grand sourire.

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